Deux jours chez ma mère *

* ou comment plagier honteusement le titre d’un roman

Il y a quelques années, mes parents ont acheté une « maison de maître » en pleine campagne normande. Je sais bien, « maison de maître », ça fait tout de suite un peu prétentieux, mais paraît-il que c’est comme cela que ce type de maison s’appelle dans le coin : construction de briques, haute de deux étages, à toiture en ardoise, entourée de quelques ares de terrain… Bon, vu de près, c’est plus simplement une belle bâtisse pas  entièrement rafistolée, mais on y est bien et le jardin -qui nous a demandé temps & efforts- est vraiment magnifique ! A deux heures de Paris (quand ça roule bien), c’est notre oasis de verdure !

Malheureusement ces dernières années (sous l’effet conjugué de l’ouverture de la boutique 6j/7 et de la rapidité de la vie d’une trentenaire parisienne en couple) j’y ai passé bien moins de temps que je ne l’aurais voulu… C’est donc avec grand plaisir que j’y ai fait une halte de deux jours, entre deux grosses journées de déménagement (travaux à la boutique obligent…)

Cette fois-ci, et pour la première fois, C. était venu avec moi. Et visiblement, la maison lui a plu… Chouette !

Ces deux jours en famille ont été l’occasion d’un festival culinaire de tout premier choix, puisqu’au programme il y a eu : des œufs au lait tout légers / un tian d’aubergines / de bien belles salades d’été / du loup en papillotes / un gratin dauphinois / des confitures de fruits du verger et bien d’autres gourmandises encore… Voyez-un peu !